Paris | Divan du Monde | 21.03.2012

Oui cette publication a du retard, mais je tiens à ce qu’elle soit publiée ici.

Tout d’abord parce que sans Patrice (le bassiste), je n’aurai pas pu faire ces photos ! Merci Patrice !!

Et puis surtout parce que je suis un grand fan de Patrick Rondat (c’était d’ailleurs le premier concert de ma vie en novembre 1998 à Grenoble !). Je suis donc fier de pouvoir publier des photos de leur superbe prestation ce soir là, en première partie de Tony MacAlpine.

Alors pour ceux qui ne connaissent pas Patrick Rondat :

Patrick Rondat est un guitariste de hard rock instrumental français, dont le jeu est à rattacher à l’école néoclassique. Grand virtuose, sa musique propose différentes couleurs musicales : jazz rock acoustique, metal néo-classique, metal progressif ou atmosphérique.
Il a commencé à apprendre la guitare en 1978, à l’âge de 17 ans. Fortement influencé par le guitariste Al Di Meola, il lui emprunte la technique de l’« aller – retour », un mouvement de haut en bas exercé par le poignet de la main tenant le médiator pour gratter les cordes, afin d’obtenir une grande vélocité.
Le premier album contenant un de ses titres est la compilation Hard Rock Rendez Vous, qui lui donne la possibilité d’enregistrer son premier album solo, Just For Fun, en 1989. {Lire la suite sur Wikipédia…}

Pour mieux vous rendre compte de la vélocité et de la technique dont il fait preuve, une première vidéo « Vivaldi Tribute » :

Et afin d’accompagner la lecture de cet article et la visualisation des photos, je vous mets une deuxième vidéo de Patrick Rondat :

J’ai bien du compter 15 photographes ce soir-là. Rien qu’à l’entrée quand le gars a sorti un énorme tas de pass pour me donner le mien, j’ai compris que la tache ne serait pas aisée. On (j’étais avec mon pote Flo) pousse les portes pour accéder à la salle et là vision d’horreur : une salle archi comble !! J’essaye alors tant bien que mal de me diriger à l’autre bout de la salle direction les loges pour saluer Patrice et Patrick. Au retour je regarde un peu où je pourrais me placer mais la première ligne en bas de scène est occupée par tous les photographes présents, pas de pit dispo, direct dans le public.

Mon pass nous donnant droit d’accéder au balcon, Flo s’installera peinard en haut le temps que j’aille dans la fosse faire quelques photos. Mais en voyant le regard des spectateurs qui avaient déjà dû laisser passer tous les autres photographes auparavant, je comprends que je gêne et que je suis de trop. Je négocie alors avec un gars pour les 3 premiers morceaux et après je m’éclipse pour trouver sur mon chemin du retour vers le balcon un escalier en colimaçon qui sera un endroit stratégique pour moi puisque bien à hauteur de la scène 😛