Résumé en noir et blanc (argentique) d’une ballade dans le quartier de la Jonction à Genève..
Avant tout, 1 précision sur le titre de cet article qui tient tout simplement en une photo (dyptique):
Oui je sais, mais j’ai trop regardé Californication ces derniers temps 🙂
Maintenant l’explication donnée, continuons. Donc toute cette série de photos a été faite en argentique, avec le Nikon F60 de mon père car mon D300 était au sav (revenu depuis après 1 mois mais le problème de pixel mort sur le capteur est toujours présent). Et finalement l’argentique fut un bon choix.
J’ai utilisé 3 films différents pour cette série: 1 Kodak T-Max 400 iso, 1 Kodak TX 400 iso et 1 Ilford Delta 100 iso. Ma préférence revient au Kodak TX 400, que j’utilise avec mon Pentacon Six TL en moyen format. Le 400 iso m’a permit d’obtenir de bonnes vitesses en intérieur dans le hangar, et même sur de basses vitesses (1/30 voir 1/20) je suis très surpris de n’avoir eu aucunes photos floues.
Pour ce qui est des objectifs, je n’ai utilisé que mon Nikkor 50mm f1.8 et mon Sigma 15mm f2.8 fisheye -qui a rempli ici totalement sa fonction de fisheye (on aime ou on aime pas..)- car ce sont les seuls objectifs gérés par cet appareil, l’achat d’un Nikon F100 d’occaz se faisant de + en + ressentir afin de pouvoir profiter ce toute ma gamme d’objectifs.
Une fois scannées par Luc (toujours de BNB Photographie), toutes les images ont été retravaillées sous Nikon Capture NX avec le plugin Nik Color Efex afin d’obtenir le noir et blanc désiré, en applicant ensuite un filtre rouge (pour plus de contraste), et en jouant aussi avec le contraste.
Cette série a été réalisée au cours d’une ballade photographique, alliant la théorie et la pratique sur le terrain, organisée par Erwan (toujours de BNB Photographie et que vous verrez de dos –« I wanna be a Rock’n’roll star »), accompagnée de 2 autres personnes. Cette ballade avait pour but de travailler et jouer avec les lignes dans un milieu industriel (ici un hangar), mais aussi de pouvoir tirer quelque chose d’intéressant d’un endroit qui au premier abord ne présente aucune particularité photographique. J’en profite aussi pour remercier les 2 personnes du hangar qui nous ont permis de « jouer » dans leur environnement de travail.
Je dois y retourner avec Erwan car il y a un énorme potentiel dans ce hangar, et nous n’avions pas assez de temps pour exploiter au maxium tout ce qu’il offrait, ce qui donnera lieu à une seconde série de photos. Et il se pourrait bien que certaine d’entres elles soient exposées lors des Rencontres Photgraphiques du Genevois le premier week-end d’octobre.
A suivre…